«La technique de Pilon et Lemieux – et de la petite armée de spécialistes qui ont travaillé à cet imposant projet – est si avancée qu’on oublie très vite qu’on n’est pas au cinéma ni devant un ordinateur, mais bien au théâtre…» Benoit Aubin, Le Journal de Montréal, 23 janvier 2011.
«On assiste à une véritable redéfinition de ce qu’est le théâtre, heureux de faire partie des élus qui ont VU et VÉCU des moments aussi extraordinaires !» Sarah-Émilie Nault, patwhite.com, 22 janvier 2011.
"It’s visually stunning and intellectually intriguing enough to warrant a second viewing." Pat Donnelly, The Gazette, January 21, 2011.
«Après La Tempête (2005, TNM) et Norman (en tournée depuis quelques années), les concepteurs Michel Lemieux et Victor Pilon démontrent encore une fois tout leur talent de créateurs visuels avant-gardistes. [...] Conte de fées pour adulte d'une puissance visuelle incontestable, cette version résolument contemporaine de La Belle et la Bête de Michel Lemieux, Victor Pilon et Pierre Yves Lemieux explore de belle façon les blessures d’amour, l’intimité et la rédemption, tout en respectant les codes et les symboles magiques du conte traditionnel.» David Lefebvre, montheatre.qc.ca, 21 janvier 2011.
«À un moment donné, j’ai dû recourir à mes jumelles pour m’assurer qu’il s’agissait bien de François Papineau et non de sa projection 3D. Et comme les jeux d’effets lumineux incluent parfois les murs de la salle de spectacle, le spectateur peut avoir l’impression d’être intégré dans l’action, sinon dans l’atmosphère de la pièce; la scène a rejoint son fauteuil. [...] Je vous le dis, démerdez-vous pour vous trouver des billets, sinon vous allez rater quelque chose que vous pourriez avoir longtemps en mémoire.» Nelson Dumais, La Chronique de Nelson, cyberpresse.ca, 24 janvier 2011
«D’entrée de jeu, disons-le: rarement une pièce de théâtre montée au Québec n’a fait preuve d’autant de maîtrise de la technologie et des effets spéciaux. C’est à une véritable odyssée magique à laquelle les spectateurs sont conviés.» Martine Côté, soundbeatmag.com, 23 janvier 2011.
«Ce qui fait la force de La Belle et la Bête, cuvée 2010, c’est véritablement l’interaction entre les personnages et les projections; en évitant de devoir constamment changer de décor, la pièce gagne en fluidité, en grandeur, en possibilités. Adieu les limites imposées par la scène, il est désormais possible d’investir le monde de l’irréel et d’avoir ainsi une pièce beaucoup plus éclatée; capable, donc, de nous transporter plus loin que des décors classiques.» Hugo Prévost, pieuvre.ca, 23 janvier 2011.