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mercredi 4 avril 2012

La Belle et la Bête présentée en grande première en juin au Festival Luminato de Toronto



Michel Lemieux et Victor Pilon (Norman, Starmania Opera) présenteront la première de la version anglaise de La Belle et la Bête au festival Luminato à Toronto en juin 2012. La Belle et la Bête : A Contemporary Retelling, mise en scène par Michel Lemieux et Victor Pilon et sur un texte de Pierre-Yves Lemieux, traduit par Maureen Labonté, entame ainsi sa carrière hors Québec.   Le spectacle sera présenté par la suite dans le cadre de la saison 2012-13 du Arts Emerson Theater à Boston. Les représentations mettront en vedette Bénédicte Décary (La Belle), Diane D’Aquila (La Dame) et Stéphane Demers (La Bête). Anne-Marie Cadieux (la Sœur) et Peter James (le Démon de la Dame) apparaitront virtuellement. Les représentations de Toronto auront lieu au Bluma Appel Theatre du 8 au 12 juin 2012. Initialement produit pour le TNM, La Belle et la Bête est une coproduction entre Lemieux Pilon 4D Art, Luminato et la Scène Nationale de l’Oise.
Adulée par les critiques, avec 44 représentations toutes à guichets fermés au Théâtre du Nouveau-Monde, l’adaptation contemporaine s’est vu remettre trois prix Gascon-Roux par les abonnés du TNM (prix pour la mise en scène et conception visuelle, conception de décor et éclairage.

Voici une vidéo de Michel Lemieux et Victor Pilon présentant le spectacle à la conférence de presse du Festival Luminato. 







mardi 22 février 2011

La Belle et la Bête en tournée

Photo par Yves Renaud
Les représentations de La Belle et la Bête au Théâtre du Nouveau Monde se terminent le 24 février, mais ce n'est pas la fin pour cette histoire d'amour à la manière Lemieux Pilon. À compter du 8 mars prochain, la pièce partira en tournée dans le cadre des Sorties du TNM. Au total, six villes seront visitées. Si vous n'avez pas déjà vos billets, faites vite, car ils s'envolent rapidement.




Tournée de La Belle et la Bête

mardi 15 février 2011

La Belle et la Bête dans la blogosphère

Violette Chauveau en virtuel et Bénédicte Décary
Photo prise par Yves Renaud
Depuis le début des représentations au TNM, la pièce La Belle et la Bête a reçu des critiques élogieuses de la part des médias traditionnels et a aussi beaucoup fait parler d'elle sur la blogosphère. Voici donc quelques extraits des critiques lues sur les blogues et des liens vers celles-ci. Pour ne pas nous répéter, nous n'avons pas mis celles déjà publiées dans notre billet du 24 janvier Ce qu'on a dit de La Belle et la Bête.

« On aura beau me dire que le TNM fait du théâtre "blockbuster" ou "sans danger", je m'en tape. Ils ont réussis là où plusieurs ont échoué récemment: me faire dire "je t'aime". Aux créations, aux créateurs, aux interprètes. Alors pour l'amour qu'ils m'ont insufflé, je dis bravo. Doublement. » Ma mère était hipster, 12 février 2011. 
« Même après avoir lu, vu et compris la mécanique derrière la magie, la technologie créée par 4D Art, on ne peut demeurer insensible à la beauté des images projetées sur la scène et tout autour. Pendant un peu plus d’une heure trente, on assiste à un ballet parfaitement maîtrisé, un spectacle de haute voltige technologique. » Daphné Bathalon, Zone Culture, 1er février 2011. 

« Cette création de Michel Lemieux et de Victor Pilon n’est peut-être pas la pièce la plus marquante montée ces dernières années, mais c’est certainement une des plus magiques et si vous aimez vous faire raconter de belles histoires, ce conte pour adultes vous charmera. » Julie Marcil, AOL à la une, 31 janvier 2011 

« Chapeau bas à Michel Lemieux et Victor Pilon à la création et la mise en scène. Le mouvement est presque constant, sans être étourdissant. Et que dire des effets visuels! Ils sont tout simplement stupéfiants.Je vous recommande chaudement cette ode au pouvoir de l’amour, qui fini par triompher de la peur, des blessures et du temps. Un délice! » Livresquement boulimique, 30 janvier 2011.
« L'adaptation de Michel Lemieux et Victor Pilon mêle technologie, cinéma, théâtre dans un mélange immersif ahurissant. L'incroyable qualité des projections  (collaboration avec Turbine) combinée à l'excellent jeu des acteurs — notamment la magnifique Andrée Lachapelle dans le rôle d'une étrange femme mi-fée mi-sorcière — font de ce conte résolument contemporain un succès assuré. » Elisa-Maude Tremblay, TP1.ca, 28 janvier 2011.

jeudi 3 février 2011

La Belle et la Bête en supplémentaire!


Vous n'avez pas encore vu La Belle et la Bête? Voici votre chance. Le Théâtre du Nouveau Monde offre deux supplémentaires les 22 et 23 février prochains et il reste encore de bonnes places. Pour acheter vos billets http://www.tnm.qc.ca/billetterie/index.html

Pour davantage de photos, consultez la section La Belle et la Bête de notre site web.




Photos : Yves Renaud

lundi 24 janvier 2011

Ce qu'on a dit de La Belle et la Bête

«La technique de Pilon et Lemieux – et de la petite armée de spécialistes qui ont travaillé à cet imposant projet – est si avancée qu’on oublie très vite qu’on n’est pas au cinéma ni devant un ordinateur, mais bien au théâtre…» Benoit Aubin, Le Journal de Montréal, 23 janvier 2011.

«On assiste à une véritable redéfinition de ce qu’est le théâtre, heureux de faire partie des élus qui ont VU et VÉCU des moments aussi extraordinaires !» Sarah-Émilie Nault, patwhite.com, 22 janvier 2011.

"It’s visually stunning and intellectually intriguing enough to warrant a second viewing." Pat Donnelly, The Gazette, January 21, 2011.

«Après La Tempête (2005, TNM) et Norman (en tournée depuis quelques années), les concepteurs Michel Lemieux et Victor Pilon démontrent encore une fois tout leur talent de créateurs visuels avant-gardistes. [...] Conte de fées pour adulte d'une puissance visuelle incontestable, cette version résolument contemporaine de La Belle et la Bête de Michel Lemieux, Victor Pilon et Pierre Yves Lemieux explore de belle façon les blessures d’amour, l’intimité et la rédemption, tout en respectant les codes et les symboles magiques du conte traditionnel.» David Lefebvre, montheatre.qc.ca, 21 janvier 2011.

«À un moment donné, j’ai dû recourir à mes jumelles pour m’assurer qu’il s’agissait bien de François Papineau et non de sa projection 3D. Et comme les jeux d’effets lumineux incluent parfois les murs de la salle de spectacle, le spectateur peut avoir l’impression d’être intégré dans l’action, sinon dans l’atmosphère de la pièce; la scène a rejoint son fauteuil. [...] Je vous le dis, démerdez-vous pour vous trouver des billets, sinon vous allez rater quelque chose que vous pourriez avoir longtemps en mémoire.» Nelson Dumais, La Chronique de Nelson, cyberpresse.ca, 24 janvier 2011

«D’entrée de jeu, disons-le: rarement une pièce de théâtre montée au Québec n’a fait preuve d’autant de maîtrise de la technologie et des effets spéciaux. C’est à une véritable odyssée magique à laquelle les spectateurs sont conviés.» Martine Côté, soundbeatmag.com, 23 janvier 2011.

«L'envie d'impliquer le spectateur dans le propos de la pièce ne se traduit pas seulement par l'intervention de cette narratrice interprétée de façon mystérieusement lumineuse par Andrée Lachapelle, mais aussi par la scénographie. Lemieux et Pilon déploient leur poétique outillage technologique jusque dans la salle, dont certains murs deviennent, au gré des projections, tantôt couverts de ronces, tantôt décorés de lustres à bougies.» Alexandre Vigneault, La Presse, 22 janvier 2011.

«Ce qui fait la force de La Belle et la Bête, cuvée 2010, c’est véritablement l’interaction entre les personnages et les projections; en évitant de devoir constamment changer de décor, la pièce gagne en fluidité, en grandeur, en possibilités. Adieu les limites imposées par la scène, il est désormais possible d’investir le monde de l’irréel et d’avoir ainsi une pièce beaucoup plus éclatée; capable, donc, de nous transporter plus loin que des décors classiques.» Hugo Prévost, pieuvre.ca, 23 janvier 2011.

jeudi 13 janvier 2011

Premières photos de La Belle et la Bête

Vous êtes impatients de voir ce que notre nouveau spectacle aura l'air? Histoire de vous mettre l'eau à la bouche, voici quelques photos prises lors des répétitions. Les représentations commencent le 18 janvier au Théâtre du Nouveau Monde. Cliquez ici pour acheter vos billets.
Bénédicte Décary et François Papineau

Bénédicte Décary et, en virtuel, Violette Chauveau

François Papineau en virtuel et Bénédicte Décary
Andrée Lachapelle et, en virtuel, Peter James

lundi 15 novembre 2010

Les costumes de La Belle et la Bête

Pour vous prouver que notre spectacle sera tout ce qu'il y a de plus contemporain, voici quelques croquis faits par Anne-Séguin Poirier, conceptrice des costumes La Belle et la Bête.

La Belle - Croquis par Anne-Séguin Poirier
La Dame - Croquis par Anne-Séguin Poirier

mardi 9 novembre 2010

Synopsis de La Belle et la Bête

Vous êtes curieux de ce qu'aura l'air notre version de La Belle et la Bête? Pour vous donner un avant-goût, voici un synopsis de notre spectacle. 


La Belle et la Bête
Une coproduction de Lemieux Pilon 4D Art et du Théâtre du Nouveau Monde

Conçu et mis en scène par Michel Lemieux et Victor Pilon
Texte de Pierre Yves Lemieux

Approximativement 90 minutes, sans entracte

Un classique réinventé. Un conte de fées à la fois contemporain et intemporel. Des personnages intelligents, fiers, fougueux. Blessés, certes, mais capables de transcender leur douleur et toujours animés d’une inépuisable soif de vivre. Des êtres intenses et lumineux, au-delà des ombres et des fêlures qui lézardent leurs destinées. Des solitaires que le choc d’une rencontre, inespérée comme toutes les véritables rencontres, bouleversera jusqu’au cœur de leurs plus profondes résistances. La Belle et la Bête : un étonnant spectacle multimédia signé Lemieux Pilon 4D art.

Des personnages qui nous ressemblent : La Belle, la Bête, la Dame, la Sœur… Modernes, les personnages redessinés par les créateurs de Norman, La tempête ou Anima sont profondément ancrés dans notre monde actuel tout en conservant les principaux traits archétypaux des héros des contes merveilleux.

La Belle a grandi au sein d’une famille heureuse entre des parents très amoureux et une sœur aînée qui nourrissait ses rêves avec ses superbes interprétations des sorcières et des marraines fées des histoires racontées à l’heure de s’endormir. Mais à l’adolescence, sa sœur s’éloigne, happée par l’univers des apparences et des plaisirs, tandis que Belle, encouragée par un père marchand d’art, découvre sa voie dans la peinture. Puis survient le drame : la mère de Belle meurt subitement et son père, consumé de détresse, fuit sa cadette qui lui rappelle amèrement son amour perdu.

La peinture devient alors pour Belle un moyen privilégié d’appréhender le monde et d’en exprimer les arcanes mais aussi son exutoire et l’ultime fil qui la relie à son père adoré. Elle ignore alors que l’art sera aussi le prétexte de sa rencontre avec la Bête, un exigeant client de son père. Toute à son exploration artistique, elle assume sa solitude en imaginant des discussions où s’affrontent les deux personnalités opposées dont elle a affublé sa sœur et qui pourtant la ramènent à elle-même.  

Un peu plus âgé, la Bête se terre dans son magnifique manoir depuis la mort soudaine de la femme dont il était amoureux fou. Comme pour tenter de traverser de l’autre côté d’une réalité insupportable, il se heurte à un miroir: défiguré et mutilé par les éclats de verre, replié sur ses souvenirs cristallisés d’un temps heureux qui ravivent cependant sans cesse ses plaies, il rejette le monde et reste sourd à la moindre marque de sollicitude ou d’amitié. Emmuré dans sa souffrance, la Bête se croit à l’abri derrière cette carapace. Jusqu’à ce que  la Belle se présente au manoir pour lui remettre la dernière rose du médaillon promise par le marchand d’art

Observant la Bête, La Dame à la fois narratrice et personnage de cette histoire n’arrive pas à percer la cuirasse de la Bête malgré toute la constance de son amour secret. Un amour tout aussi fantasmé que celui de la Bête pour sa femme morte puisque la conteuse, d’une beauté qui semble sublimée par le temps, n’en reste pas moins une vieille Dame sur qui le poids des ans finira par s’abattre lorsqu’elle renoncera enfin à son rêve impossible et concèdera que la Belle est la seule personne qui puisse faire revivre la Bête.

La fusion entre réel et virtuel

Alternant entre les scènes dans l’atelier de Belle et celles dans les différentes salles du manoir, le spectacle revisite l’histoire originale du conte tout en conservant sa trame dramatique.

Après une première rencontre houleuse entre la Belle et la Bête, le scénario fait découvrir aux spectateurs la transformation à l’œuvre chez les personnages. Une transformation qui s’opère à l’insu de Belle et de la Bête bien sûr, puisque l’amour crée des brèches qu’on ignore un certain temps jusqu’à ce que, tétanisé, on en découvre la profondeur. Mais si Belle cède avec ravissement et humilité au sentiment qui envahit son cœur et reconnaît en cet homme son alter ego, la Bête, elle, est terrorisée. Ne lui reste plus qu’à se laisser mourir. À moins que Belle arrive à temps pour la ramener à la vie…

Maître de l’osmose entre réel et virtuel, Lemieux Pilon 4D art repousse encore une fois ses propres standards avec ce nouveau spectacle. Les œuvres de Belle, les métamorphoses des corps et des visages, les lieux où évoluent les personnages ou encore les ronces, tout s’incarne par la magie du virtuel. Les spectateurs, interpellés par le drame des personnages et fascinés par la virtuosité scénique mise au service d’une histoire universelle où le pouvoir de l’art, la force de résilience et l’amour rédempteur triomphent, s’y reconnaîtront et porteront un nouveau regard sur ce conte d’une grande richesse dramatique et philosophique.






lundi 12 juillet 2010

Premières images de La Belle et la Bête

Vous êtes impatients de voir ce à quoi notre prochain spectacle La Belle et la Bête ressemblera? En mai dernier se tenaient les premières répétitions et les premiers tests de projection de la création. Voici quelques photos des résultats de ces expérimentations. Pour les besoins de la cause, Michel Lemieux, lui-même, incarne la Bête. Qu'en pensez-vous?


jeudi 15 avril 2010

Michel Lemieux et Victor PIlon lancent leur nouvelle création La Belle et la Bête au Théâtre du Nouveau Monde pendant la saison 2010-2011

Le 7 avril dernier avait lieu le lancement de la saison 2010-2011 du Théâtre du Nouveau Monde. Michel Lemieux et Victor Pilon étaient présents afin de parler de leur nouvelle création La Belle et la Bête. Cette coproduction de Lemieux Pilon 4D Art et du Théâtre du Nouveau Monde sera présentée en grande première mondiale le 17 janvier 2011 et en tournée québécoise par la suite. Elle mettra en vedette François Papineau, Bénédicte Décary et Andrée Lachapelle.

photos : Yves Renaud